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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 05:16

 

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J'en ai déjà parlé sur d'autres articles ma tension fait des siennes très souvent même quand je semble zen ... j'ai trouvé une tisane aux feuilles d'olivier ainsi que des comprimés ... mais je suis à l'affut de toutes les solutions et conséquences sur certains patients de l'hypertension...

 

Et oui il faut le savoir et en parler à son médecin … Certains antihypertenseurs exerceraient des effets opposés sur la libido de la femme ménopausée, ce qui pourrait influencer l'observance du traitement font remarquer les auteurs d'une étude italienne parue dans la revue "American Journal of Hypertension".

Pour l'homme, les dysfonctions érectiles liées à la prise de médicaments sont bien connues, en particulier pour certaines classes d’antihypertenseur (diurétique ou bété-bloquants), alors qu'il semble que les antagonistes de l’angiotensine exercent plutôt un effet bénéfique.

Cependant le nombre d'études ayant pris en considération les troubles sexuels liés à la prise d'antihypertenseurs chez la femme est beaucoup moins important, ont constaté le Dr Roberto Fogari et ses collègues du département de médecine interne de l'université de Pavia (Italie).

Cette équipe de médecins italiens a donc décidé de comparer les effets d'un bêta-bloquant et d'un antagoniste de l'angiotensine II chez une centaine de femmes ménopausées, âgées de 45 à 55 ans, qui entamaient un traitement pour une hypertension légère à modérée.

Alors que l'efficacité du traitement en terme de chute de la pression artérielle s'est montrée comparable dans les deux groupes, l'évolution de différents aspects du désir et de l'activité sexuels a été déterminée par des questionnaires au lancement de l'étude, puis au bout de quatre mois de traitement.

Les auteurs ont ainsi pu constater que la prise de l'antagoniste de l'angiotensine II était associée à une amélioration significative des scores obtenus pour les items ayant trait au désir sexuel, alors le traitement à base de bêta-bloquant exerçait l'effet inverse.

Selon eux, ces variations de comportement pourraient résulter de l'influence de la testostérone plasmatique, dont le taux ne semble pas être affecté par l'antagoniste de l'angiotensine II alors qu'il est réduit par le bêta-bloquant.

La vie sexuelle des femmes ménopausées étant influencée par la prise d'un traitement antihypertenseur, cet élément devrait être pris en compte au moment de la prescription, suggèrent les auteurs. En effet, comme tout paramètre influant sur la qualité de vie de la personne, cet aspect joue un rôle en terme d'observance thérapeutique, notent-ils.

 

Si jamais... j'en parlerai à ma Doc !!! bonne semaine à vous bisoux Doubs ...

 


 

 

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 05:28

 

 

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« Quand il y a gêne … pas de plaisir ne serait ce pas génétique…!!!… »

 

Se réveiller, boire un petit café et lire que l’orgasme féminin serait déterminé par des facteurs génétiques et pas seulement par des facteurs culturels, je dirais presque merci aux Anglais… En tout cas c’est l’affirmation des chercheurs britanniques qui introduisent ainsi un nouvel élément dans le débat sur une question très controversée. 

Les causes de la difficulté de beaucoup de femmes à atteindre l'orgasme ne sont pas claires, tout comme les raisons de larges variations de ce qu'elles peuvent ressentir. Une situation qui diffère de celle des hommes dont les difficultés sexuelles sont beaucoup mieux étudiées.
La capacité d’une femme à atteindre l’orgasme ne dépendrait pas seulement de son partenaire, de son éducation ou d’autres facteurs psychologiques mais aussi de son patrimoine génétique.
Une des explications possibles pourrait être le rôle des gènes, ce qui a conduit une équipe de chercheurs britanniques dirigée par le Pr Tim Spector (hôpital Saint Thomas, Londres) à questionner 4037 femmes jumelles (vraies et fausses) sur leurs problèmes sexuels. 

Le patrimoine génétique des vraies jumelles est identique, ce qui n'est pas le cas pour les fausses jumelles.

Parmi le groupe de 3000 vraies jumelles ayant répondu, 31% disent atteindre toujours ou souvent l'orgasme pendant leurs relations sexuelles et 39% en cas de masturbation. Ces chiffres ne sont respectivement que de 10% et 17% parmi le groupe de 714 fausses jumelles ayant dévoilé leur vie intime.

"Les résultats montrent pour la première fois que l'aptitude de femmes à l'orgasme a une base génétique et ne peut pas être attribuée uniquement aux facteurs culturels", affirment les chercheurs britanniques. 

Ces résultats devraient inciter à entreprendre des recherches plus approfondies sur la fonction sexuelle des femmes, poursuivent-ils dans le numéro des "Biology letters", une publication de la Royal Society, homologue britannique de l'Académie des Sciences.

Pour l’instant aucun gène impliqué dans le plaisir féminin n’a vraiment été identifié. Pour les isoler il faudrait d’abord comparer l’ADN des femmes qui ont un orgasme à chaque fois avec celles qui n’en ressentent jamais. La connaissance de ces gènes permettrait peut-être d’identifier les cas des femmes qui souffrent de frigidité pour des raisons biologiques sans pour autant ramener ce problème à cette seule dimension.

 

L’équipe britannique ne fait aucune suggestion sur la nature précise de ce lien génétique, mais elle souligne que des facteurs négatifs sur la santé sexuelle, comme la pression artérielle, les migraines, ou la dépression, sont également liés à l'hérédité. Par ailleurs, sans distinction cette fois entre les deux groupes, presque un tiers des femmes interrogées (32%) disent ne jamais ou rarement parvenir à l'orgasme en cas de relations sexuelles, et 21% d'entre elles n'y parviennent pas davantage en cas de masturbation. De nombreuses recherches ont déjà mis en évidence la difficulté que rencontrent beaucoup de femmes pour arriver à l'orgasme, mais les causes en demeurent très mal connues, contrairement aux difficultés sexuelles masculines beaucoup mieux étudiées.

 

A chacune de trouver où et comment avoir du plaisir car pour l'instant rien dans la génétique n'est prouvée ... A suivre donc !!!

 

Malgré une météo qui s'annonce capricieuse je vous souhaite une belle journée ... ma grande a une rhino et la puce commence a avoir le nez qui coule merci l'automne ...

Bisoux Doubs ...


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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 04:31

 

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"A force d'y croire tout le monde peut y arriver..."

 

Encore un sondage me direz vous mais celui là parle de vous, de nous, des autres…

Le laboratoire Lilly-Ico et l'institut Ipsos ont réalisé une vaste enquête sur la sexualité auprès de 1.000 Français âgés de 25 ans et plus, qui montre une "sérénité globale" des Français vis-à-vis de leur sexualité tout en révélant l'"impact douloureux" des troubles de l’érection sur l'équilibre des individus et des couples.

La sexualité, c'est d'abord le plaisir et la sensualité aux yeux de 44% des Français. Dès ces premières minutes, une hiérarchie des sens s'ébauche.

Pour la femme comme l'homme, le toucher arrive en tête avec 93% des citations. L'érotisme de l'homme est ensuite plus généralement visuel, celui de la femme plus olfactif, ont souligné, au cours d'une conférence de presse, le Dr Marie-Hélène Colson, sexologue, et le Dr Antoine Lemaire, andrologue.

L'amour est un acte qui mêle l'émotion des sentiments et l'excitation du corps. Lorsqu'on interroge, les Français, 37% d'entre eux, femmes comme hommes jugent que le plus important sont les émotions et les sentiments, seuls 19% pensant que l'essentiel c'est le plaisir physique. Ce qui fait dire à Marie-Hélène Colson qu'il y a désormais du "romantisme" dans l'amour, même chez les hommes, traduisant une "évolution" des comportements. D'autant plus que s'impose également à un Français sur deux la notion de partage du plaisir.

Les Français déclarent faire l'amour 1,8 fois par semaine en moyenne (comment on peut faire virgule huit … c’est une ou deux mais entre ce n’est pas un calinou non… !!!).

Mais la singularité de cette question tient à la différence des réponses entre hommes et femmes. Les hommes revendiquent faire l'amour en moyenne 2 fois par semaine et les femmes 1,6 fois semaine. Exagération des hommes ou modestie des femmes, seuls les draps s'en souviennent quand l'acte s'accomplit dans un lit (71% des préférences des Français). Vantardise ? Les plus de 65 ans et de 70 ans auraient, selon eux, 1,1 relation sexuelle par semaine.

Encore faut-il avoir un (e) partenaire sexuel(le), car 25% des femmes et 15% des hommes de plus de 35 ans, déclarent vivre dans la solitude sexuelle. Avec une éventuelle indifférence. Un Français sur quatre se déclare indifférent à l'idée de s'abstenir de toute sexualité pendant plusieurs mois. 

L'amour apparaît comme lié à la vie moderne et urbaine avec, au premier chef, l'impact du travail. Le désir sexuel est subordonné au stress professionnel, particulièrement chez les femmes (72%), moins chez les hommes (56%). Lafatigue et le manque de temps sont aussi deux motifs d'abstinence sexuelle.

En général, les Français décident de faire l'amour au mieux quelques secondes ou quelques minutes avant. Le sexe programmé bien à l'avance ne réunit qu'une petite minorité (13%). Et c'est d'abord la nuit que la France bruisse du souffle des étreintes amoureuses : 6 Français sur 10 font le plus souvent l'amour le soir en se couchant. Le lever du soleil inspire toutefois 18% d'entre eux. Et la saison préférée est l'été.

Mais en dépit de cette satisfaction générale, la sexualité des Français est loin de ressembler à un long fleuve tranquille : 25% des hommes se disent sujets à des baisses du désir sexuel et 24% à des éjaculations trop rapides, 46% des femmes sont sujettes à des baisses de désir sexuel et 16% à des problèmes d’orgasme.

Les troubles de l'érection préoccupent 20% des hommes et 23% des femmes quand elles l'ont constaté chez leur partenaire. Parmi les Français ayant déjà été confrontés dans leur relation sexuelle à ces troubles, un tiers d'entre eux jugent que ceux-ci ont eu un impact très ou assez important sur la qualité de leur vie sexuelle, sur leur humeur, sur leur équilibre en général. Ces troubles modifient pour 27% des Français leur confiance en eux-mêmes et fragilisent l'harmonie du couple pour un quart d'entre eux. 

Seuls 3% des hommes concernés disent avoir eu recours à un traitement. Parmi eux, seuls 6 sur 10 en ont été satisfaits. Pourtant les esprits changent. Les Français sont plus de 66% à se déclarer prêts à utiliser eux-mêmes ou à proposer à leur partenaire d'utiliser un traitement contre les troubles de l'érection.

Finalement, les Français sont plutôt satisfaits de leur vie sexuelle puisque deux sur trois s'attribuent une note supérieure à 6/10, 10% s'attribuant même la note de 9/10 tandis que 7% s'infligent la note 0…

 

Je file faire le virgule 8 ... avant vite un ptit café pour la forme ... belle journée à vous bisoux Doubs ...

 


 

 

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 05:56

 

 

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« La tentation, c'est une invitation ... pire, une exhortation. Oui, la tentation est ce qui nous attire, trouble, obsède, fait vibrer, ... Qu'il est doux de succomber à certaines tentations ... »

 

Halte aux préjugés, à tout âge correspond un désir particulier. Il n’est pas réservé qu’aux jeunes. 

Et à chaque moment de sa vie, son orgasme. Gérard Leleu, médecin et sexologue français, fixe l’épanouissement sexuel à la trentaine, quand le corps est en accord avec ses envies et que la femme, qui a approfondi ses connaissances sensuelles, réalise ses désirs. Quant au désir des femmes plus âgées, le tabou a été progressivement dégommé par les recompositions familiales et l’allongement de l’espé­rance de vie. La différence d’âge se banalise. «Être attiré par une personne plus âgée que soi n’est pas forcément, comme le martèle l’éternel préjugé, la recherche du père ou de la mère», souligne la psychanalyste Sophie Cadalen. Le cliché qui consistait à croire que les femmes d’un certain âge ne ressentaient plus le besoin de batifoler gaiement vient d’être mis à mal par une étude américaine menée pendant quarante ans qui conclut que si le désir décroît avec les années, le plaisir sexuel augmente avec l’âge. Les hommes n’ont plus qu’à s’adapter.

 

Non, la femme n’est pas un homme comme les autres mais les instituts de sondage montrent, au fil des années, que l’écart se resserre entre la vie amoureuse des hommes et celle des femmes. Début 2013, la Sofres révèle que 78% des hommes et 71% des femmes considèrent que la sexualité est un point important de leur épanouissement. Et pour 45% des sondés, les hommes et les femmes ont autant de besoins physiques à satisfaire. Leur vision s’accorde à l’unisson en plaçant la complicité et le plaisir en tête des motivations des corps‑à‑corps, sans oublier de considérer le sexe comme un besoin naturel à assouvir. Derrière les chiffres se cachent évidemment d’autres réalités sur le terrain du plaisir...

 

Bon dimanche profitez bien du soleil ... bisoux Doubs ...

 


 

 

 

 

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15 septembre 2013 7 15 /09 /septembre /2013 05:24

 

 

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« Dans tous les domaines de notre existence, nous avons une tendance naturelle à compliquer les choses alors que nous aspirons constamment à nous simplifier la vie. La recherche du bien-être se cache pourtant derrière tous nos objectifs. » Thierry Schneider

 

Le désir féminin est souvent un désir de réponse, bien plus qu'un désir pulsionnel, un désir qui répond au désir de l'autre, à l'amour de l'autre. Une femme qui se sent belle et désirable va voir son propre désir apparaître, ou augmenter s'il est déjà présent.

Pour un couple actif professionnellement, qui a en plus souvent une vie de famille et une vie sociale, trouver le bon moment pour faire l'amour ne va pas de soi. D’autant qu'il s'agit d'un temps particulier. Le couple a besoin d'un espace où il sera seul, au moins temporairement, mais aussi de quelques instants où il n'aura pas à répondre aux sollicitations de qui que ce soi.

Tout cela n'est pas impossible, mais demande de faire un peu le ménage dans ses priorités. Un moment privilégié avec votre conjoint a peut-être plus d'importance que ce coup de fil à un proche qui n'a pas le moral, ou qu'un dernier mail à envoyer au travail…

 

Inutile de se le cacher : la forme physique influence la motivation à sauter sous la couette. Même si le désir sexuel est bien là, il est possible d'être trop fatigué pour faire l'amour !

Le temps mis de côté pour votre couple risque fort, dans les moments de fatigue, d'être consacré au sommeil plutôt qu'à la bagatelle… Pensez donc à écouter votre corps et à vous ménager.

Misez aussi sur l'activité physique, qui fatigue sur le moment mais donne beaucoup d'énergie.

Un sommeil suffisant, une alimentation équilibrée et une activité physique régulière sont de bons moyens de s’assurer la santé de l’un et de l’autre, mais aussi une vie sous la couette…

L'une des premières raisons pour lesquelles les femmes, surtout, hésitent à faire l'amour, et qu'elles ne sont pas à l'aise avec leur corps. C'est compréhensible, mais aussi regrettable. Car qui pourrait imaginer un meilleur remède contre les complexes que de se faire plaisir avec son corps,  dans une relation pleine d'amour ?

En outre, selon la plupart des sexologues, les hommes n'ont en général que très peu de reproches à faire à l'apparence de leur épouse. C'est donc bien que la vie de couple en général, et la vie sexuelle en particulier, peuvent très bien continuer même si les marques du temps apparaissent au fil des années.

N'attendez donc pas d'avoir perdu vos complexes, ou fait un régime, pour faire l'amour ! Apprenez plutôt à vous concentrer sur les aspects de votre corps qui vous plaisent. Un décolleté généreux, des chevilles élégantes, une peau douce, peuvent être tout à fait ensorcelants...

 

Alors si malgré les vacances encore toutes proches et les souvenirs de folies corporelles peuplent vos rêves : Votre libido est en berne ? Sachez que la facon de s'alimenter peut être responsable de cette baisse de libido…

La bonne nouvelle, est qu'inversement, rééquilibrer son alimentation peut faire renaître le désir.

Dans son livre " Mes ordonnances alimentaires ", le Dr Laurent Chevalier, médecin nutritionniste, indique comment se nourrir sainement et prévenir les maladies.

Parmi toutes les ordonnances qu'il propose, l'une d'entre elles est spécifiquement consacrée à la libido.

Prenez note si besoin…  !

 

Ordonnance Petit Programme Alimantaire spécial libido

Une dose quotidienne de vitamine C : - Mangez 5 portions de fruits et légumes. - Privilégiez les agrumes et le persil.

5 à 6 fruits secs par jour : - Amandes, noix, noisettes, noix du Brésil...

Du poisson 3 à 5 fois par semaine : - Frais ou surgelé.

Féculents et céréales tous les jours en alternance : - 3 à 5 fois par semaine des féculents, légumes secs, lentilles, pois chiches, pomme de terre vapeur,  ...

(- A alterner avec du riz, des pâtes ou autres céréales.)

Plus de plantes aphrodisiaques : - Menthe poivrée, marjolaine, sarriette, calament, thym, romarin, maca, shatavari, persil …, sont des plantes réputées aphrodisiaques, que l'on peut consommer très régulièrement sans modération...

Moins de sel :

- Remplacez le sel par du paprika, poivre, pigment ou tout autre aromate à votre convenance et préférence.

Sélection des protéines animales : - 3 à 5 oeufs par semaine, pas plus. - Privilégiez les viandes maigres, le jambon cuit ou cru.

Moins de graisses et moins de sucre : - Évitez les plats préparés industriels, les biscuits, les viennoiseries.

- Limitez la crème et les desserts lactés sucrés (flans, crèmes...). Préférer les yaourts même au Bifidus.

Moins de sodas et moins d'alcool.

 

Alors qui osera suivre ce programme ou le suit déjà sans le savoir finalement …

 

Bon dimanche à vous sous la couette ou ailleurs ... bisoux Doubs ... après une magnifique soirée à rire, à manger et surtout à voir pétiller les yeux de ma Puce voici un dimanche tranquille surtout que la météo ne semble pas au beau fixe ...

 


 

 

 

 

 

 

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6 septembre 2013 5 06 /09 /septembre /2013 05:30

 

 

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« Il ne t’est jamais donné un désir sans que te soit donné le pouvoir de le rendre réalité. »  Richard Bach

Certains ou certaines diront youpi un ptit article coquinou, d’autres seront choqués et outrés que j’ose parler de ce sujet … mais liront jusqu’au bout faut pas mourir bête hein !!!

 

Il y a une course permanente aux études sur la sexualité, pour tâcher d’en comprendre les méandres et mieux tout compartimenter, que ferait-on sans la publication de résultats sur nos potentiels comportements…

Vous pensiez tout savoir sur le clitoris ?

Détrompez-vous !

Utilisée à tort et à travers dans la publicité, la religion, la science ou encore en politique, la sexualisation des femmes est pourtant le fruit d’une ignorance complète en ce qui concerne la sexualité féminine.

 

Et pour cause, tout ce que vous pensiez connaître de l’organe génital féminin est probablement faux.

Partant en guerre contre les idées reçues à ce sujet, l’artiste Sophia Wallace propose de refaire notre éducation clittéraire.

Le clitoris est en grande partie invisible, comme les icebergs. Il  mesure en réalité : 9 à 12cm de long et 6cm de large.

A lui tout seul, le haut du clitoris est constitué de 8 000 nerfs.

Autant d’informations que la plupart de nos zhoms ignorent encore.

Pour pallier à ce grave manque de connaissance, l’Américaine Sophia Wallace s’est lancée dans un projet artistique de grande ampleur.

Son nom : Cliteracy !

Le clitoris, il faut le rappeler, n’a véritablement été découvert qu’en 1998 incroyable hein ! Un constat alarmant qui a motivé Sophia Wallace, photographe, à remettre les points sur les i...

Elle propose pour cela plusieurs installations et opérations artistiques visant un impact mondial. « Mon projet ne s’arrête pas aux galeries d’un musée, explique-t-elle. Il s’agit de dépasser ces tabous, d’utiliser le blasphème volontairement afin de dénoncer cette fausse logique absurde qui pénalise non seulement les femmes, mais tout le monde. »

 

Elle a commencé par l’installation monumentale affichant les 100 lois du clito. Illuminées par un néon de six mètres au nom du projet, un immense tableau condense cette législation originale. On peut y lire des informations historiques, scientifiques et naturelles mais aussi des slogans pro-clito et des jeux de mots savoureux imaginés par l’artiste.

Petits extraits : « La terre n’est pas plate et les femmes n’ont pas d’orgasme par le vagin », « Le trou n’est pas tout », « Si vous connaissez si bien le clitoris, pourquoi n’en existe-t-il aucune vraie représentation ? » « Un seul chirurgien dans le monde répare le clitoris des femmes ayant subi une mutilation génitale ».

Le but de cette installation, en plus de suivre les lumières de la Cliteracy, est de forcer le spectateur à prendre son temps (chose que beaucoup oublient de faire lorsqu’il s’agit du jouet féminin !)

 

Deuxième installation, et de loin  la plus surprenante : le rodéo du clito.

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Avec l’aide du sculpteur Kenneth Thomas, elle a créé un clitoris doré géant mais anatomiquement correct.

Exposé lors du Wassaic Project Summer Festival de New York début août, il invitait le public à le chevaucher (la forme étant parfaite et « faite » pour ça), sans honte, et sous le regard de juges qui, plutôt que de noter la performance, levaient des pancartes « Oh ! Mon Dieu ! », « Ne t’arrête pas », simulant le plaisir.

Enfin, parce que ce n’est pas qu’une affaire de femme, elle a lancé une ligne de vêtements unisexe affichant des slogans de Cliteracy, tels que « Solid Gold Clit » (clito en or massif). Slogans qu’on peut retrouver placardés dans les rues des plus grandes villes américaines.

 

Toutes ces études plus ou moins contradictoires et disons le parfois utiles, on serait tenté de conclure qu’il vaut mieux faire comme si ... (non non moi je ne lis pas ce genre de cancans)… mais, ce serait se priver du plaisir de découvrir les fruits de nos imaginations fertiles, ainsi que notre volonté permanente de normer la sexualité des autres à celle que nous définissons comme étant la juste, la bonne : la nôtre.

 

 

Bonne fin de semaine, bon vendredi ... et voilà la première semaine de rentrée s'achève déjà ... bisoux Doubs ...

 


 

 

 

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9 août 2013 5 09 /08 /août /2013 05:43

 

 

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« Le plaisir si en prime est orgasmique te fait gravir une montagnede connaissances… »

Lâchez vos mots-croisés et cessez de regarder Motus, Arte & Cie… !

Si vous avez envie de booster votre cerveau pour ne pas finir comme tata Suzanne qui perdait un peu la boule, mieux vaut vous adonner à une bonne partie de jambes en l’air mais si je vous assure...

Outre la sensation de bien-être procurée par un orgasme, ce dernier serait également très bon pour notre cerveau.

Cette conclusion, nous la devons à Barry Komisaruk, un éminent professeur de psychologie à l’université de Rutgers, aux Etats-Unis. Ce dernier étudie depuis de longues années la question de plaisir féminin, et ses derniers résultats ont même été repris par le Times.

Ainsi, ce dernier explique au journal l’incroyable étendue des bienfaits du sexe sur le cerveau de la femme. "Lors de l'orgasme on constate une augmentation importante de sang vers le cerveau. Je pense que ça ne peut pas être mauvais, cela apporte tous les nutriments et l'oxygène au cerveau. Les exercices mentaux augmentent l'activité cérébrale dans quelques parties localisées du cerveau, alors qu'un orgasme active toutes les régions du cerveau", explique le spécialiste.

Ainsi, avoir une activité sexuelle régulière permettrait d’entretenir notre cerveau. Mais ce n’est pas tout, selon le Pr Barry Komisaruk, l’orgasme nous permettrait de rester jeunes, et serait un excellent antalgique grâce à la libération d’endorphines.

Fort de ces découvertes, le Pr espère aller plus loin en décryptant les mécanismes de l’orgasme. Il souhaiterait également traiter la dépression et l’anxiété par ce biais…

En attendant ses résultats de ses prochaines recherches … orgasmons… moi je file préparer pour notre départ la nuit prochaine …

Bisoux Doubs à dans quinze jours si je ne me connecte pas depuis mon lieu de vacances …

 

 


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6 août 2013 2 06 /08 /août /2013 04:38

 

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"Le livre est l'ami de notre été, il faut juste savoir bien le choisir pour se réjouir à chaque page..."

Chaque Eté il faut faire un choix de livres a emporter en vacances ... poches ou autres modèles, policier, romans populaires, à l'eau de rose et voilà que le succès de Fifty Shades of Grey, best-seller en matière de littérature érotique, n’est plus à prouver.

Depuis, chose sûre : la littérature érotique, vous aimez ça.

Bonne nouvelle, je vous fais découvrir clearpassion.fr, nouvelle librairie online, pour s'offrir du porno litt' à tout va ! (Votre été vous remercie enfin votre corps surtout...)…

 

Littérature érotique : 59% d'entre vous ont déjà lu un livre coquin et oui quand même …

Fifty Shades of Grey, publié en octobre 2012 aux éditions JC Lattès, s’est vendu à plus de 50 millions d’exemplaires en France. Oui, les aventures sadomasochistes d’Anastasia Steele, jeune étudiante et de Christian Grey, brillantissime homme d'affaires, ne vous ont pas laissé de marbre.

Une révolution ? Pas vraiment. Les françaises ont toujours lu de l’érotique. Mais depuis ce livre, elles l’avouent davantage. On lisait dans son coin, on en parle entre copines. On lisait pour se faire plaisir, on partage désormais ses lectures avec son partenaire pour faire monter la température. 
Plus de doutes, les françaises étaient déjà décomplexées, elles continuent de se lâcher. Celles qui ne s'étaient pas encore découvert de passion pour la littérature érotique s'y mettent et pas seulement l’Eté ou sur la plage... Même la collection a reboosté ses ventes avec sa collection coquinette !!!

Selon le sondage IFOP réalisé en décembre 2012 suite au succès de Fifty Shades of grey, on apprend que c’est une pratique désormais largement répandue - que de lire coquin, dans la gent féminine : près de six femmes sur dix (59%) admettent avoir déjà lu un livre érotique au cours de leur vie, contre un peu plus d’une sur trois en 1970 (38%). Une pratique qui se démocratise on ne se cache plus et la honte de le faire n'a plus lieu d'être...

 

Puisque l’été est propice, puisqu’en lisant tout ça vous vous dites : vite, il faut que je remplisse ma valise (ou celle de mon partenaire) de bouquins érotiques... Voici la nouvelle adresse incontournable en matière de mots qui décoiffent.

Clearpassion.fr : librairie érotique et complète… il y a un rayon « romantique » pour les fleurs bleues un peu pudiques !!!


Fraîchement débarqué, le site propose plus de 2000 références de livres numériques érotiques pour tablettes, liseuses, smartphones et ordinateurs, qui sont classés en six univers littéraires : “romance”, “fantasmes ”, “libertinage ”, “entre filles”, “entre garçons” et “BDSM”. Le pied, non ?
À l’instar de son emblème - un petit piment rouge - Clearpassion.fr se veut la librairie numérique la plus pimentée de la toile.


En quelques clics, c'est commandé. C'est discret. Et si on ne veut pas s'afficher à la plage avec, on recouvre son bouquin de papier journal ou du femme actuelle de la semaine, si si. Mais il y a fort à parier que notre voisine et lectrice de serviette lira la même chose que nous. 

Sur ce, à vous de jouer ! Et inutile de vous dire que l'été sera chaud bouillant. En tout cas, c'est tout le souhait que je vous fais et je vous aurai dit comment !!!.

 

Belle journée à vous bisoux Doubs ... il va faire encore très très chaud ...

 


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2 août 2013 5 02 /08 /août /2013 05:04

 

 

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« L’Amour érotique est une sorte de pléonasme, Eros étant l’amour même. Cependant, au-delà de l’étymologie, on désigne ainsi ordinairement, une manière d’amour où le plaisir des corps se trouve mis au centre de la relation amoureuse, non dans un pur mouvement de spontanéité aimante et désirante, mais par une véritable mise en culture, une recherche réfléchie ou retorse de la maîtrise du plaisir amoureux. Cela le constitue comme une simple variante de l’amour platonique, à ceci près que ce n’est pas au sentiment que s’attache alors la pensée mais à la mystérieuse alchimie des corps mêlés cherchant ardemment la pierre philosophale. »

 

Que les partenaires soient dans la répétition ou la transgression, pour eux, la sexualité est non seulement ce qui fonde leur couple, mais aussi le "lieu" où se concrétise et se déploie toute la richesse de l’intimité.

Le désir sexuel est comme une énergie à conquérir, jamais acquise durablement, qui, au contraire, « meurt et renaît périodiquement, suivant les cycles du jour et de la nuit, de la faim et de la satiété ».

 

Etes-vous épanouie au lit ? Combien de fois faites-vous l’amour par semaine ? Les troubles de l’érection ont-il un impact votre libido ?

Autant de questions qui ont été posées à 6449 femmes et hommes vivant dans sept pays européens.

L’ « Enquête sur la satisfaction sexuelle en Europe » commandée par Pfizer (qui commercialise notamment le Viagra…) nous apprend ainsi que les Français font l’amour en moyenne moins de deux fois par semaine. Et qu’un rapport sexuel dure en général… 20 minutes !

 

Les Italiens et Espagnols semblent, eux, plus « dynamiques » au lit puisqu’ils auraient sept rapports par mois. Ils sembleraient également beaucoup plus apprécier leurs ébats sous la couette que les Français qui sont 54% à souhaiter améliorer leur vie sexuelle.

La fatigue, les agendas surchargés et des troubles de l’érection nuiraient ainsi à nos parties de jambes en l’air. Un homme français sur cinq avoue même avoir déjà évité des rapports sexuels de peur de ne pas avoir d’érection et 34% souhaiteraient avoir « une érection plus dure » et plus longue.

Et les femmes, qu’en pensent-elles ? Elles sont 85% à trouver que leur homme est à la hauteur… il est où alors le problème ???

 

Ainsi, les couples amants ne sont pas seulement occupés à entretenir la flamme du désir. Ils acceptent aussi qu’elle diminue d’intensité, ces baisses de régime n’étant pas, chez eux, source d’éloignement. Parce qu’ils ont fait de leur sexualité une priorité, le centre de la relation, elle n’est pas la raison d’être du couple, mais son foyer. Passionnée et impulsive au tout début, elle s’est, au fil du temps, raffinée, personnalisée. Les rythmes, les manières et les mots se sont accordés, les fantasmes se sont dévoilés, les corps se reconnaissent plus qu’ils ne se connaissent.

Pour se donner à l’autre pleinement, il faut, selon Gérard Leleu, être dans la confiance, être imprégné de la certitude que l’autre accueille tout ce que l’on est. Grâce à ce lâcher-prise réciproque, l’imagination, la créativité peuvent s’épanouir à l’infini. « On ne peut pas offrir son corps à l’autre lorsque l’on est en conflit, lorsque l’on a du ressentiment, que l’on dévalorise l’autre ou qu’il nous dévalorise, avance Gérard Leleu. Une sexualité riche et durable ne va pas sans une bonne communication. »

Ainsi, tous ceux qui peuvent se sentir complexés doivent garder présent à l’esprit que le bonheur sexuel dans le couple n’est pas l’apanage de quelques chanceux ou surdoués, mais d’hommes et de femmes qui ont choisi d’y consacrer du temps et de l’attention. Des hommes et des femmes pour qui l’amour prend tour à tour le visage de la passion, de la complicité, du respect de l’autonomie de l’autre et de la volonté que leur relation défie le temps.

La mésentente sexuelle n’est pas un argument juridique pour dissoudre un mariage, mais les juristes remarquent que l’insatisfaction sexuelle est de plus en plus souvent invoquée dans les affaires de divorce. 93 % des Français considèrent d’ailleurs que la sexualité est indispensable à la réussite de la vie de couple.

Dans la pratique, Violette Gorny, avocate et auteur du Nouveau Divorce, observe que le principal motif de discorde est le décalage des désirs : « Il y a en a toujours un qui demande plus que l’autre. On oscille entre le “trop” et le “pas assez”. »

Les femmes se plaignent plus fréquemment de demandes sexuelles "excessives", qui peuvent aller jusqu’au viol conjugal ; ce sont elles qui sont le plus souvent à l’origine des demandes de séparation (68 % des cas, in “Inventer le couple” de Philippe Brenot), 21 % mettant en avant des problèmes sexuels.

 

Combien de fois suis-je supposé faire l’amour ? Dans les cabinets des sexologues, cette question revient tel un leitmotiv. « Qu’ils soient heureux ou non dans leur couple, les gens en viennent toujours à s’interroger sur la fréquence de leurs rapports sexuels. Comme s’il y avait une norme qu’ils se devaient de respecter. »

Entre neuf et treize fois par mois (soit deux à trois fois par semaine) est la "fréquence" avouée par les Français mais en réalité c’est moins de deux fois et même une seule fois, quel que soit leur âge et celui de leur couple.

Mais que déduire de ces chiffres, sachant que les statistiques, toutes basées sur la moyenne mensuelle, rassemblent aussi bien ceux qui font l’amour trois fois par semaine que ceux qui, après quinze jours d’abstinence, passent tout un dimanche "sous la couette" ?

De plus, la question de la fréquence des rapports reste un sujet relativement tabou et les réponses sont souvent dictées par l’angoisse de ne pas être "normal".

Dans une autre étude Michel Bozon démontre que, s’il y a une activité sexuelle soutenue les deux premières années (entre 7 et treize rapports sexuels par mois), une stabilisation se produit autour de cinq à neuf rapports mensuels à partir de cinq ans d’ancienneté du couple. Une moyenne qui varie légèrement en fonction des étapes traversées : le mariage, la naissance d’enfants, l’achat ou le déménagement dans un nouvel appartement ou maison ...

Selon le sociologue, « tout ce qui participe de la stabilité du couple et le fait exister indépendamment de sa sexualité » entraîne la baisse du nombre des rapports sexuels.

Cette divergence entre femmes et hommes va en s’accroissant avec l’âge du couple.

Les spécialistes sont unanimes : une fréquence élevée de rapports sexuels dans le couple n’est pas forcément l’expression d’une vie sexuelle réussie. « Après chaque rapport avec sa nouvelle compagne, l’un de mes patients avait toujours envie de recommencer, raconte la sexologue Catherine Solano. Pour lui, ce n’était jamais assez. En réalité, il compensait le manque d’amour « d’avant » par un excès de sexualité. »

Inversement, il arrive que, lorsque les partenaires sont en confiance, ils ne ressentent ni le besoin ni l’envie de multiplier les rapports sexuels parce qu’ils se sentent déjà comblés. « Ce qui crée le désir, c’est le manque. Donc, en état de plénitude, il peut ne pas y avoir de désir sexuel intense. »

 

Quoiqu’il refuse l’idée de "seuil limite", le médecin et thérapeute de couple Gérard Leleu estime qu’en deçà de un rapport tous les quinze jours, on court le risque de tomber dans une atonie conjugale néfaste à l’épanouissement du couple…

 

Comme toujours c'est une question de dosage et de personnalité ... pour certain et certaine une fois suffit par semaine et pour d'autre une fois par jour n'est pas suffisant ... il suffit de trouver la bonne personne, le bon équilibre, et surtout d'y prendre son pied non ????

C'est l'été l'instant est propice pour mettre les choses à plat et inover ... alors à vous de faire ce qu'il faut pour mettre le feu au corps de l'autre !!!

Bisoux doubs je file prendre mon petit déjeuner ...

 


 


 


 

 

 

 

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25 juillet 2013 4 25 /07 /juillet /2013 05:28

 

 

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« Rester jeune c’est aussi pouvoir et vouloir … »

 

Faire l’amour serait-il le dernier élixir de jeunesse en date ? Un élixir peut être pas, mais un moyen agréable de rester jeune, certainement ! C’est ce qu’affirment des scientifiques britanniques ayant mené une enquête publiée au début du mois de juillet 2013* sur 3 500 hommes et femmes, originaires d’Amérique et d’Europe, pendant 10 ans.

Ils ont remarqué, à cet égard, que les participants à l’étude paraissaient tous beaucoup plus jeunes que leur âge.

Leur secret ? Une sexualité régulière et une fréquence des rapports sexuels d’au moins trois fois par semaine. Et oui pour rester jeune et beau il faut se bouger !!!

Faire l’amour maintiendrait une certaine jeunesse… ! Surprenant, mais bien vrai, si l’on en croit les propos du neuropsychologue écossais, David Weeks qui prêche la pratique d’une sexualité régulière...

 

Faire l’amour serait bon pour les couples de tous âges, afin d’apparaître plus jeune de 7 à 12 ans. Une pratique sexuelle assidue favoriserait alors la jeunesse des traits physiques et un mental d’acier.

Faire l’amour tout au long de sa vie serait la clef d’une jeunesse prolongée, peu importe l’âge. David Weeks indique qu’ : « une attitude plus positive à l’égard de la sexualité des personnes âgées devrait être vigoureusement promue ».

Un sujet encore tabou dans nos sociétés de consommation rapide …

Les participants à cette étude avaient, d’ailleurs, entre 20 et 104 ans au moment de l’enquête. Leur moyenne d’âge était d’environ 40 ans. 

Les chercheurs les ont interrogés dans une grande pièce avec une glace sans tain.

Les six scientifiques devaient estimer l’âge à chaque entretien. Et dans un grand nombre de cas, les heureux pratiquants d’une sexualité régulière s’avéraient plus jeunes que les autres moins enclins au calinou.

 

Les médecins conseillent, généralement, le sport, puis le sexe pour jouir d’un état de santé meilleur autant sur le plan physique que psychologique.

Mais faire l’amour au-delà de trois fois par semaine, excepté par plaisir ou celui de son/sa partenaire, serait superflu, d’après le Dr David Weeks. « Pratiquer une sexualité libertine, être infidèle ou avoir plusieurs partenaires sexuels ne serviraient, non plus, à rien pour se maintenir jeune et en santé », insiste-t-il.

Donc faire l’amour trois fois par semaine, oui ! Mais pas plus que de raison dixit le doc !

 

Faire l’amour trois par semaine permettrait de réduire les risques de cancer de la prostate pour les hommes. Ces derniers auraient en moyenne 20 orgasmes par mois (on les croit bien évidemment). Avoir des rapports rapports sexuels au moins trois fois dans la semaine permettrait également de diminuer les risques de cancer du sein chez la femme. Et ce grâce à la libération d'ocytocine (hormone agissant sur la reproduction, déclenchant l’allaitement…), pendant l’orgasme (là on ne sait pas combien ont des orgasmes on espère à chaque fois hein !!!). Enfin, le sexe régulerait les émotions et le bien-être psychologique.

 L’enquête révèle aussi qu’avoir une sexualité assidue n’est pas la seule cause d’une apparence plus jeune. Fréquenter des personnes de tous âges, se marier et/ou vivre en couple avec une personne plus jeune permettraient de rester jeune dans sa tête et dans son apparence.

De même, lorsque les femmes prennent un traitement hormonal contre la périménopause et plus tard la ménopause, elles rajeunissent en apparence.

 

Et vous, après lecture de cette étude, le sexe deviendra-t-il votre fontaine de « jouissance » ou de  « jouvence » profitez en c’est l’Eté, les vacances, le moment idéal …?

 

Sur ces conseils coquinoux je vous souhaite une belle journée de galipette oups de joie, de chaleur, et de soleil à gogo ... bisoux Doubs ...

 


 

 

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