Saint Romuald,
après une douce accolade,
et mil rigolades
tu lui offres une orangeade,
tu te perds dans ses yeux de jade,
sur son corps tes mains se baladent,
son cœur bat la chamade,
c’est parti pour une torride sérénade.
Saint Romuald,
après une douce accolade,
et mil rigolades
tu lui offres une orangeade,
tu te perds dans ses yeux de jade,
sur son corps tes mains se baladent,
son cœur bat la chamade,
c’est parti pour une torride sérénade.
Concentre toi sur l’indécence du touché …
Les yeux mi clos, nous partons à la découverte d’un univers oublié, à explorer.
Pose tes doigts sur le tissu, devine oui soie divine…
Tu reconnais les courbes, les petits défauts, tu redécouvres les parcelles à chaque fois…
Et voilà que tu provoques le frisson par la douceur de ta bouche qui invite au jeu le corps en attente…
Ce soir, juste une envie de tes bras
Ce soir, juste me blottir sur ton épaule
Ce soir, juste envie de toi, ta peau contre ma peau
Ce soir, juste envie de toi pour me tenir chaud…
Tu es celui qui me donne envie d’avoir envie…
Envie dans mon cou de ton souffle chaud
Envie de tes lèvres sur les miennes
Envie de ta langue fouilleuse
Envie de tes mains qui me dessinent
Envie de tes doigts sur moi
Envie de ta bouche sur mes seins tendus
Envie de tes baisers sur mon ventre
Envie que tu fouilles mon intimité
Envie que tu joues avec mon bouton
Envie de plaisir pour nous deux
Envie d’apaisement après ta semence…
A vouloir goûter ta peau, oui
A vouloir absorber tes envies
A vouloir sentir ton corps
A vouloir mordre encore
A vouloir déguster tes désirs
A vouloir savourer notre plaisir…
Nous allons succomber à cette embuscade à notre bon vouloir …
L’art de manger des cerises
Il n’y a que toi pour ce délice
Doucement tu joues, les billes
Se promènent de ton doux nombril
A tes monts qui s’hérissent
Les courbes de ton corps glissent
Entre dans le jeu dangereux
Où la porte de ta gourmandise en feu
Nous transporte à mil lieux
De bouche à bouche, délicats, coquins,
Régalons nous de ce festin …
La musique inonde le salon
Ton corps sert le mien dansons
Et, nous voilà enlacés, slowons
Quelques minutes de tourbillon
Tu m’étourdies quelle émotion
Nos bouches, nos langues en conclusion…
Que j’aime tes attentions pour moi
Elles chahutent mon corps en émoi
Mettent mes sens en délires
Que j’aime murmurer mes envies
Elles m’emmènent à cette jouissance salvatrice qui
Epuise mon être de plaisir
Que j’aime te donner ma liqueur
Elle coule comme une onde de bonheur
Capturé dans mon intimité gonflée de désir.
Sainte Elisée,
inutile de jaser,
si tu aimes ses baisers,
pense d’abord à te raser
sa peau est fragilisée
en regard de ton avidité
elle répondra sans sourciller
et t’emportera au sommet fantasmé
que tu as toujours désiré.
Matin …Câlin …
Nos corps lascifs, réveil brumeux après une nuit de folie…
l’esprit toujours en accord avec nos corps alanguis…
Nos peaux hyper érectiles des matins câlins …
Lentement, progressivement voguent nos mains,
nos caresses pleines de promesses de délicieuse fusion …c’est le matin …