Doucinette pas si douce que ça !!

« Aimer, c’est risquer qu’un jour l’autre s’en aille »… je ne vais pas épiloguer sur cette phrase, ni philosopher mais parfois quand on va vers autrui cherche t’on à se garantir ou se protéger … ou faisons nous entièrement confiance …

Hier une amie m’a dit « Nat tu es une passionnée » …  C’est une qualité mais qu’est ce que ça peut faire mal de l’être …

Je vais donc profiter de l’absence de mes filles pour me retrouver, rechercher celle que je suis, me reconstruire (un autre article arrive afin que vous compreniez …) …

Bon week end à vous ... bisoux Doubs ...

N'oubliez pas Sainte Juliette : "A la Saint Juliette la vie d'être chouette alors fait une pirouette ..."

Hier je papotais avec une amie de nos problèmes de nanas au fil des ans … de la puberté à la ménopause et dans la soirée je lis cet article je m’empresse donc de vous en faire part … bon la plupart des infos nous les connaissons mais certaines sont surprenantes vous me le direz après avoir lu !!!

S’il est impossible, et peu souhaitable, de réduire notre sexualité à un phénomène hormonal, il serait dommage de ne pas profiter des effets bénéfiques que peuvent avoir nos hormones sur le désir comme sur le plaisir.

Il ne faut pas confondre la durée des règles avec le cycle, période entre le début des règles et les suivantes. Au cours de celui-ci, ovaires et organes génitaux se modifient sous l’influence des hormones (oestrogènes, progestérone). L’ovulation se produit en général au milieu du cycle (lorsqu’il est de vingt-huit jours), c’est-à-dire entre douze et quatorze jours avant le début des règles suivantes.

Au moment de l’ovulation, la libido féminine enregistre un pic. Sur le plan physiologique, la lubrification est facilitée. Rien de plus naturel : la survie de l’espèce pousse à rechercher activement un partenaire sexuel et à optimiser la rencontre. Si vous voulez profiter de ce coup de fouet hormonal, vous pouvez noter à l’avance votre période d’ovulation pour être « réceptive » le moment venu. Il a en outre été constaté qu’elle rendait les femmes plus actives sexuellement et plus enclines à prendre l’initiative.

Juste avant les règles. L’augmentation de la vascularisation a pour effet d’irriguer davantage les organes génitaux, ce qui intensifi e les sensations au moment du contact. De nombreuses femmes disent également ressentir alors un état d’excitation diffuse.

Et les hommes ? Sécrétant de la testostérone (l’hormone sexuelle masculine) en permanence, ils ne sont pas soumis aux mêmes fluctuations que les femmes. Cela dit, leurs érections matinales et nocturnes – correspondant à l’oxygénation des corps caverneux – sont des minicycles. À chaque couple d’en tirer profit !

Vous connaissez forcément leur petit nom, souvent joli d’ailleurs : lulibérine (recherche des sensations de plaisir), ocytocine (attachement), endorphine (bien-être), dopamine (bonne humeur), phénylethylamine (stimulation)… Ces molécules, des neuromédiateurs, sont produites tout au long de notre vie dans diverses situations, physiques et relationnelles.

Pour profiter de leurs effets positifs, nul besoin d’avoir recours à des compléments alimentaires ou autres dopants chimiques. La nature a bien fait les choses. Pour favoriser l’appétence sexuelle et la recherche du plaisir, vous pouvez provoquer indirectement la production de ces molécules.

Privilégiez les activités physiques qui relaxent sans relâcher : nage, marche rapide, vélo, course. L’effort doit être prolongé et vous procurer du plaisir (endorphines).

Prenez des bains de lumière pendant au moins vingt minutes tous les jours (sérotonine, dopamine). En évitant les longues expositions au soleil.

Embrassez-vous, effleurez-vous, massez-vous, en dehors du contexte sexuel. Il s’agit de faire baisser le stress et de donner envie de contacts (ocytocine).

Croquez du chocolat, faites-vous des surprises, jouez aussi à vous faire un peu peur (lulibérine, adrénaline)…

Je vous avais prévenu … alors à vos exercices !!! et finalement quel bonheur d’être une nana non !

Bisoux Doubs et bon week end malgré une météo capricieuse ....

Je suis timide mais je me soigne...

Lorsque vous étiez enfant, ou ado vous n'aviez pas le courage de répondre pendant les cours, parce que vous étiez trop timide.

Et maintenant, parfois, vous ne pouvez pas toujours demander à un étranger le lieu d’une adresse par exemple - encore une fois, parce que vous vous sentez inconfortable, et c'est quelque chose que vous ne pouvez pas faire face.

Cela a été et est encore aujourd'hui un grand problème pour beaucoup de gens. Enfin, la timidité peut être traitée. Un groupe international de scientifiques a mis au point un remède pour la timidité.

L'invention est basée sur des données de recherche selon laquelle l'ocytocine influence l'état psycho-émotionnel des hommes et des femmes dans la façon dont il aide à surmonter la timidité naturelle.

Les fonctions de base de l'ocytocine ont été connues depuis longtemps. Ces fonctions participent au processus du métabolisme, en aidant les contractions de l'utérus pendant l'accouchement, en stimulant la lactation. L'effet de l'ocytocine sur l'adaptation sociale était un inattendu pour les scientifiques.

Déjà maintenant, il a été inventé une pilule basée sur cette hormone créée pour aider les gens à surmonter leur timidité...

Je ne sais pas ce que vous en pensez je trouve cela très inquiètant ... mais bon pourquoi pas ...

Moi je ne suis pas timide je dirais plutôt réservée ... et vous ??

Enfin nous avons passé une nuit entière sans réveil la Puce n'a pas fait de nouveaux cauchemars ouffff ....

Ce matin nous allons au marché puis avec la chaleur annoncée cette après midi nous irons au bord de l'eau ... il fera toujours plus frais qu'en ville !!!

Bonne journée à vous bisoux Doubs ...

N'oubliez pas Saint Olivier : "A la Saint Olivier les dés sont jetés, l'Eté est bien entamé !!!"

Jusqu’à quelques années je n’aimais pas la betterave mais j’ai appris à la manger crue chez ma Soeurette ... et là ce fut une révélation !!!

Mais ce matin je vais vous parler des atouts de son jus vous allez courir en acheter j’en suis sure … Le jus de betterave agit sur les fonctions sexuelles (un véritable aphrodisiaque au naturel),  aide à la digestion (lors d’un repas un peu lourd prendre un petit verre), ferait baisser la pression artérielle (un petit verre chaque jour diminuerait la tension –si j’avais su plus tôt-). Dans une étude, des patients ayant consommés 120 ml de jus de betterave ont vu leur pression artérielle diminuer de 10 points en moins de quatre heures. .

La betterave crue (toujours) ou le jus renforcent le système immunitaire et  possèdent des propriétés détoxicantes. Et, aiderait également à soulager les maux de têtes et certains problèmes cutanés.

La betterave est extrêmement nutritive et énergétique. Sa richesse en magnésium, phosphore et vitamine du groupe B régénère la substance fibreuse des nerfs et exerce une action sédative sur le système nerveux. Elle contient du rubidium, élément radio-actif, participant activement à la digestion toujours, ce qui justifie sa prescription aux anémiés et déminéralisés.

A savoir aussi : La betacyanine est le pigment qui donne leur couleur rouge betterave, ce pigment est absorbée par les globules du sang et peut augmenter la capacité de transport de l’oxygène du sang d’un maximum de 400 pour cent.

Ne jetez pas les feuilles vertes, car elles peuvent être cuites comme les épinards et sont également riches en bêta-carotène, acide folique, de la chlorophylle, de potassium, de vitamine C et en fer.

Vous allez me dire mais pourquoi tous ces bienfaits ??

Cela serait dû à sa richese en nitrates qui serait transformé dans l’organisme en oxide nitrique. Du coup, l’oxide nitrique à toutes ces propriétés comme de détendre la tension artérielle.   

Tout devient possible alors … mais attention il ne faut pas en abuser le pur jus de betterave bio (bien sur) aurait le pouvoir de paralyser les cordes vocales (si vous avez un discours, une réunion ou un tour de chant) ni pensez pas !!! Et, le Jus de betterave est si puissant qu’il peut vous faire sentir mal à l’aise, cet inconfort est normal lorsque les toxines sont éliminées. Il est conseillé de boire beaucoup d’eau pour aider à l’élimination des toxines.

Bon jus, bon lundi bisoux Doubs … j’ai une matinée d’enfer entre les stats de fin de mois, de fin de semaine et tout le reste je ne vais pas chomer !!! … et chez vous tout va bien ???

N’oubliez Saint Thomas : « A la Saint Thomas change tes draps ton corps te le rendra !! »…

Je vous avais dit que je devais poser un stérilet et bien c’est chose faite … whaou je ne me souvenais pas que cela pouvait être aussi désagréable !!!

J’ai faillit « tomber dans les pommes » mon gynéco m’a même offert un verre d’eau fraiche pétillante !!

Pourtant il m’expliquait au fur et mesure ce qu’il me faisait et je n’avais pas particulièrement peur mais bon …

Après nous avons bien entendu, parlé de la ménopause et il m’a dit : Selon une étude Suédoise le café diminuerait le cancer du sein. A raison de plus de cinq tasses (ce que je prends largement) et chez les non-ménopausées la consommation supérieures à 4 tasses diminuerait de 40% le risque.

Il me souligne aussi que : Le persil et le céleri renfermeraient un nutriment qui aurait un effet protecteur contre le cancer du sein toujours mais à vérifier.

Et je retrouve l’étude sur mon livre de nanas Les résultats d’une série d’essais cliniques menés sur des rates qu’on a exposées à une progestérone synthétique couramment prescrite comme hormone de remplacement à la ménopause. Chez les rates qui recevaient également de l’apigénine - un flavonoïde que l’on trouve notamment dans le persil, le céleri, la pomme, l’orange et les noix –, le nombre de tumeurs cancéreuses associées à l’hormonothérapie de remplacement était 50 % moins élevé. L’apigénine aurait aussi eu comme effet de ralentir la croissance des tumeurs.

Selon les chercheurs de l’Université du Missouri, l’apigénine s’opposerait à l’action des progestatifs qui augmentent le risque de cancer du sein. Selon eux, ce nutriment végétal bloquerait la croissance endothéliale vasculaire, lequel serait responsable des effets cancérigènes associés à l’hormonothérapie de remplacement.

Même si des études n’ont pas encore été faites sur des humains, il est permis de croire qu’une alimentation riche en apigénine pourrait contribuer à minimiser les effets cancérigènes connus des progestatifs et réduire ainsi les cas de cancer du sein dans la population, affirment les chercheurs.

Finalement tout est encore dans notre alimentation …

Je me dépèche journée surbookée … je vous raconterai les rebondissements de ma semaine durant le week end …

Bon vendredi à vous bisoux Doubs …

N’oubliez pas Saint Thierry : « A la Saint Thierry tout sourit ! »