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24 octobre 2014 5 24 /10 /octobre /2014 06:24

 

 

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« Quand c’est l’heure soyons à l’heure, le changement d'heure est un marronier ideal pour les feuilles de choux, mais ce qui est nouveau c'est que la critique est de plus en plus ouverte… »

 

Non point que je sois en droit de me plaindre ni de la température,  ni de l’été indien ne m’y autorisant pas, mais voilà c’est reparti,  y a pas à tortiller du fessier en une désespérée tentative pour se réchauffer après la première gelée de ce matin, c’est l’hiver que l’on nous annonce, avec  jours qui raccourcissent et soirées que l’on nous vole.

Alors oui, il fait beau, mais là on sait que l’on ne va pas y couper à la traversée de ce trimestre tant détesté, les corps ensevelis sous des amas de fringues, la note de gaz qui flambe, les sorties qui nous pèsent.

Toutes ces joyeusetés sont comme la stalactite hivernale, elles nous pendent au nez, alors « on » nous fait un cadeau, une heure de sommeil supplémentaire. Merci ! C’est trop ! Mais je n’avais rien demandé moi !

Moi, dormir la fenêtre ouverte bercée par le chant des oiseaux, j’aime, bouquiner, colorier, bricoler, jardiner sur ma terrasse au soleil...

Je n’aime pas arriver chez moi, passer de pièce en pièce en allumant la lumière et vivre dans l’artificiel, en ressortir, y retourner parce que j’ai oublié de les éteindre.

Je n’aime pas devoir changer d’heure, faire les modifications sur les horloges de mes articles ménagers, en oublier, et me retrouver paumée dans le doute les premiers jours...

Je n’aime pas parce que mon horloge biologique, celle à laquelle je suis connectée 24/24, mette des jours à accepter, à se dire et oui l’hiver approche à grand pas alors tu auras une heure de moins...

Non, je n’aime pas et vous aimez vous ??...

 


 


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21 octobre 2014 2 21 /10 /octobre /2014 05:08

 

 

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«Le plus important dans la vie, c’est de ne pas avoir peur d’être humain.»  Pablo Casals

 

Si l’on en croit une nouvelle étude australienne, perdre du poids en peu de temps ne signifierait pas que l’on va reprendre ses kilos plus rapidement que ceux qui optent pour un régime plus lent.

La vitesse avec laquelle on risque de reprendre nos kilos après avoir suivi un régime  serait-elle équivalente à la durée dudit régime ?  Et bien apparemment pas si l’on en croit une nouvelle étude.

Des chercheurs australiens ont comparé les effets des "crash diets", autrement dit les régimes rapides, à ceux de régimes sur un plus long terme en observant deux groupes de patients obèses, âgés de 18 à 70 ans.

Le premier groupe a adopté pour une alimentation équilibrée avec un nombre de calories réduit (500 de moins par rapport à son alimentation habituelle) pendant 36 semaines. L’autre a suivi sur 12 semaines un régime à faible teneur en glucide avec des boissons de substitut (soit entre 500 et 800 calories absorbées par jour). Chaque groupe a ensuite suivi un programme pour stabiliser la perte de poids sur 3 ans.Résultat ?

Peu importe le régime suivi, 70 % des kilos perdus ont été repris durant ces trois années dans chaque groupe. Ce qui tendrait à prouver, selon les conclusions de l’étude, que les croyances voulant que l’on reprenne plus vite du poids après un régime rapide ne sont pas fondées. A long terme, les effets des régimes seraient sensiblement les mêmes.Les scientifiques ont cependant noté une différence sur le nombre de personnes qui avaient suivi jusqu’au bout le régime et atteint leur objectif : 80 % dans le cas du régime rapide contre 50 % pour le programme plus long. Les auteurs estiment que la perte de poids rapide encouragerait ceux qui suivent ce type de diètes à aller jusqu’au bout. Certains  patients ayant suivi un programme rapide ont aussi développé des maladies (inflammation de la vésicule biliaire, cancer). L'étude pointe enfin l'importance du suivi par un professionnel après la phase de diète : "Il y a plusieurs façons de perdre du poids mais la chose la plus important dans la gestion de l’obésité est de conserver sa perte de poids après", a en effet expliqué Joseph Proietto, professeur au département de médecine de l’université de Melbourne et auteur principal de l’étude.

Une étude à prendre avec des pincettes selon d'autres experts qui affirment que ces régimes à la mode qui nous promettent de perdre du poids très vite peuvent être dangereux, en entraînant notamment des carences.

Le professeur Naveed Sattar de l'université de Glasgow, a également souligné que la prise de poids des obèses se fait sur plusieurs années et qu'inverser la tendance peut être long car il faut du temps à l'organisme pour réguler l'appétit.

 

Mais, qu'importe la méthode choisie, si vous voulez vous lancer dans un régime, mieux vaut prendre conseil auprès d'un professionnel avant pour éviter tout problème de santé.

 

 


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3 octobre 2014 5 03 /10 /octobre /2014 04:56

 

 

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« On a besoin de s'accoutumer à tout, au malheur, à la maladie, au bonheur même ...» Constance

 

Aujourd’hui 3 octobre est pour la première fois la Journée Mondiale de l'Urticaire. Un mal fréquent, que de nombreuses personnes vivent au quotidien, sans pouvoir être réellement soulagées.

Avez-vous déjà entendu parler d'urticaire? Urticaire (urtica = ortie), le nom parle de lui-même. Les personnes qui en souffrent font face au quotidien à des démangeaisons intenses et à des douleurs brûlantes... et ne peuvent, hélas, rien faire pour s'en sortir. On parle d'urticaire chronique quand les symptômes persistent plus de six semaines.

Je peux vous dire pour avoir rencontré ce problème avec ma grande que c’est un vrai parcours du combatant pour qu’enfin un médecin sache quoi faire et quoi diagnostiquer….

Un pour cent de la population mondiale est touché par cette affection cutanée. Pour deux tiers des patients, le martyre va plus loin encore: ils souffrent d'urticaire chronique spontanée (UCS), une forme particulièrement irritante qui survient et disparaît subitement, en faisant souffrir le patient physiquement, mais aussi psychiquement. Le facteur déclencheur n'est pas connu, ce qui complique singulièrement le traitement.

Depuis peu, un nouveau traitement est disponible pour les patients UCS au Grand-Duché de Luxembourg. Celui-ci leur permet de vivre normalement.

L'Urticaire chronique spontanée (UCS): maladue cutanée banale ou compagnon d'infortune durable?

1600 patients vivent avec l'urticaire chronique spontanée. Les personnes atteintes par l'UCS sont, le plus souvent, âgées de 20 à 40 ans. Les femmes sont deux fois plus touchées que les hommes. Vivre avec cette affection cutanée, c'est faire face au quotidien à des démangeaisons intenses et à des douleurs brûlantes sur tout le corps. Plus de 40 % des patients souffrent aussi d'angioœdème (angio = vaisseau sanguin; œdème = enflure), soit des gonflements douloureux autour de la bouche (lèvres) et/ou des paupières. L'effet cosmétique de ces gonflements parfois volumineux peut avoir un impact dramatique sur l'image que le patient a de lui-même.

Outre l'inconfort physique, le patient est également confronté à des problèmes psychiques allant des crises d'angoisse à la dépression. Dans sa vie quotidienne, le patient souffre de perte d'énergie, mais aussi de problèmes de concentration, d'appétit et de sommeil. La maladie influence aussi le comportement social du patient sur le plan des relations, de la sexualité, du travail et des temps libres. L'UCS est une maladie chronique et spontanée. Elle survient donc toujours de manière inattendue et persiste, en général, entre un et cinq ans.

Dans certains cas extrêmes, elle peut perdurer jusqu'à 50 ans. Vivre avec l'UCS est tout sauf une partie de plaisir.

Selon le Dermatology Life Quality Index (DLQI), le fardeau de l'UCS est similaire à celui d'autres affections cutanées chroniques comme le psoriasis.Toutes ces complications augmentent le risque que les patients plongent dans une spirale négative.

 

Les symptômes de l'urticaire chronique spontanée sont faciles à identifier pour un dermatologue. Le patient souffre de fortes éruptions qui le démangent, variables en taille de quelques millimètres à la taille d'une main. Les plaques ne persistent pas plus de 24 heures à la même place et ont parfois déjà disparu lorsque le patient arrive chez le médecin. En cas d'angioœdème, le patient présente un gonflement des paupières, des lèvres, de la langue et même de la glotte (qui va de pair avec un sentiment d'oppression).

L'urticaire chronique spontanée n'a pas de facteurs déclencheurs externes. Le système immunitaire pourrait jouer un rôle. Faute d'éléments déclencheurs apparents, cette maladie cutanée n'en est que plus difficile à traiter. Lorsqu'il cherche une solution, le médecin se penche généralement d'abord sur les antécédents de la maladie. Il le fait à l'aide d'un score d'évaluation qui vise à mesurer la nature des symptômes (démangeaisons, plaques, gonflement des paupières et/ou des lèvres) et l'impact des symptômes sur la vie quotidienne du patient (travail, activité physique, sommeil, relations sociales, comportement alimentaire). Le patient est ensuite soumis à un examen corporel, suivi d'une prise de sang.

«Quand le médecin pose le diagnostic d'urticaire chronique spontanée, les symptômes sont généralement combattus à l'aide d'antihistaminiques. La qualité de vie du patient peut s'en trouver améliorée. Cependant, pour plus de la moitié des patients UCS, la dose d'antihistaminiques tolérée n'offre que peu voire pas de soulagement. Un nouveau traitement est aujourd'hui disponible au Grand-Duché de Luxembourg. Celui-ci permet aux patients UCS de pouvoir vivre normalement.» a affirmé le Dr Payeur, dermatologue à Luxembourg.

Les frais médicaux élevés, suivis par les frais indirects totaux (les produits dermatologiques ne sont pas pris en charge ni par la sécu, ni par les mutuelles), expliquent que les patients UCS doivent, en plus de leur maladie, porter un important fardeau économique. Plus de la moitié (58 %) des patients UCS sont ainsi absents de l'école ou du travail un ou plusieurs jours, suite à leur maladie. Les coûts indirects (polyclinique, frais de garde d'enfants, perte de salaire pour celui qui accompagne le patient) sont souvent sous-estimés. Ils représentent cependant 15,7 % des coûts totaux.

Dans le cadre de l’initiative internationale, le site mondial urticariaday.org invite les patients, les médecins, les proches, l’entourage et le public à se mobiliser autour de cette pathologie. Ils sont invités à partager l’information du site via les réseaux sociaux – twitter, facebook, à poster une photographie/un témoignage, etc. Ils sont également conviés à créer leur propre événement : mise en place d’un groupe régional de soutien…

 

 

 

 

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 04:49

 

 

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« Si vous êtes en mesure d’être vous-même, vous ne serez pas en compétition. Tout ce que vous avez à faire est de vous rapprocher de plus en plus de cette essence. » Barbara Cook

 

Je ne suis pas enceinte et je n’ai pas de cancer mais j’ai deux filles et je ne connais pas l’avenir … je m’informe …

Octobre rose a commencé hier et deux récentes études scientifiques prouvent que la chimiothérapie et la radiothérapie  préconisées pour traiter les cancers de femmes enceintes n'auraient pas d'impact sur le développement et la croissance de leur enfant.

Bien qu'elles n'annoncent malheureusement pas la disparition du cancer, c'est néanmoins une bonne nouvelle qu'apportent les conclusions de deux recherches présentées au congrès de l’European society for oncology (ESMO) à Madrid. Visant à déterminer si les traitements contre le cancer avaient un effet sur le bébé lorsqu'ils étaient administrés pendant la grossesse, elles prouvent en effet qu'ils sont sans conséquences sur l'enfant que ce soit in utero mais aussi sur son développement physique et neurologique après la naissance. Donner naissance et guérir d'un cancer ne sont donc plus incompatible. Une futur maman n'aurait donc pas à interrompre son traitement au risque de voir sa tumeur grandir ou se propager, ni n'aurait à provoquer une naissance prématurée de son bébé pour pouvoir le suivre d'urgence.

La première étude, menée par le Dr Frédéric Amant de l’université de Louvain en Belgique avait pour objet la chimiothérapie, qui reste autorisée pour les femmes enceintes. Afin d'en évaluer les effets sur la santé des bébés, son équipe a observé deux groupes d'enfants dont un avait été exposé avant la naissance à ce traitement. Résultat, 2 ans plus tard, les scientifiques n'ont constaté aucune différence en matière de développement entre les deux. "Lorsque la chimothérapie  est administrée après le premier trimestre de grossesse, nous n’avons relevé aucun problème chez les enfants, explique l'auteur principal. Les craintes liées aux risques de la chimiothérapie ne devraient pas être une raison de mettre fin à une grossesse, de retarder le traitement du cancer de la mère, ou de provoquer un accouchement prématuré", insiste-t-il.

La seconde étude en est arrivée à la même conclusion concernant la radiothérapie qui n'est pas recommandée en France car ses rayons pourraient avoir un effet néfaste sur le foetus. Ça ne serait finalement pas le cas. Sur les 16 enfants et 10 adultes dont la mère avait subi une radiothérapie pendant la grossesse, un seul enfant présentait un retard mental sévère, potentiellement imputable à d'autres facteurs que le traitement. Tous les autres montraient des résultats neuropsychologiques tout à fait normaux.

Au vu de ces résultats, les chercheurs espèrent que leurs conclusions pourront aider les médecins à choisir le traitement le plus efficace et le plus adapté pour les futures mamans, sans risquer la santé de leur bébé.

 

 

 

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29 septembre 2014 1 29 /09 /septembre /2014 04:52

 

 

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« Je n’ai pas la tête dans la lune, je fais juste un joli pied de nez à l’astre jaune … »

 

On peut lire tout et n’importe quoi sur la lune … Les poètes n’ont que la lune en tête dans bien des proses... Pourtant, le satellite naturel de notre planète a, des effets très terre à terre, et pas que sur la nature...

Elle agit sur notre santé et notre bien-être en fonction des phases de son cycle.

Pendant des années, Henry Puget, Médecin à Paris, a constaté que ses patients supportaient moins bien les piqûres et saignaient davantage pendant la pleine lune. Au fil du temps, il a interrogé malades et spécialistes pour aboutir à la conclusion suivante : tenir compte des phases du satellite naturel de la terre permet « d’améliorer son bien-être et de soigner ses petits maux quotidiens ».

Lors de la pleine lune, on se sent souvent plus tonique, parfois plus stressé aussi, car l’astre qui déplace les océans agit aussi, sur nos liquides intérieurs.

« Un phénomène de vasodilatation des vaisseaux sanguins apparait dans tout le corps quand la lune est pleine, ce qui est bénéfique aux personnes qui ont des varices. Mais certains chirurgiens refusent d’opérer les jours de pleine lune, car ils craignent les hémorragies.

La lune, par son rayonnement électromagnétique, agit également sur les hormones délivrées par les glandes endocrines ainsi que sur le pH de notre corps, c’est-à-dire son acidité. Le pH diminue (ou est plus acide) en période de nouvelle lune, favorisant l’apparition de mycoses et de champignons. Il augmente en période de pleine lune, ce qui profite aux virus et entraine un pic des infections urinaires. « D’où l’intérêt d’associer les phases de la lune et la prévention de certaines maladies, ce que les médecines chinoise et ayurvédique font depuis des siècles ».

Si les problèmes de sommeil surgissent souvent pendant la pleine lune (du jour la précédent au jour la suivant), c’est parce que l’intensité des ondes électromagnétiques dégagées par le satellite est maximale à cette période. Et certains individus, particulièrement sensibles à ces ondes qui agissent sur les électrons contenus dans nos cellules, débordent alors d’énergie et n’arrivent pas à dormir. Alors prévoyez vos sorties en fonction du cycle lunaire (vous pouvez stabiloter sur les calendriers) !

Et la libido alors ?? Là encore, le rayonnement électromagnétique de la lune joue un rôle sur notre organisme, et plus particulièrement sur notre hypothalamus, glande qui orchestre la sécrétion d’hormones. Or, la pleine lune augmente la production d’hormones dans le corps, notamment la testostérone, et donc le désir sexuel. Et comme en plus on n’arrive pas à dormir et que l’on voit mieux par nuit claire, c’est bien le moment de montrer sa lune…

Et vous la lune a-t-elle des incidences sur votre Vie ??

 

 

 

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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 05:19

 

 

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 « Je ne regrette pas ce que j’ai fait, je regrette les choses que je n’ai pas faites lorsque j’en ai eu la chance. »

 

Quand ma doc avait proposé le vaccin contre le papillomavirus pour ma grande j’avais accepté par contre pour la petite avec l’actu médicale suite à la vaccination j’ai attendu de voir la suite elle ne l’a toujours pas fait … et là je lis …

Le cancer du col de l’utérus bénéficie d’un parcours de dépistage efficace en France. Mais il fait encore chaque année 1000 victimes en France. Pour réduire encore ce chiffre, des scientifiques pensent avoir mis au point un test de dépistage urinaire, extrêmement simple à utiliser.

Alors que le HCSP a rendu cette semaine un rapport concernant le vaccin contre le papillomavirus – un virus à l’origine de près de 70% des cancers du col de l’utérus – et recommandé l’abaissement de l’âge de la vaccination à 9 ans chez les fillettes, voici qu’un nouveau pas pourrait bientôt être fait dans la lutte contre cette maladie.

Chaque année, ce sont 2 810 nouveaux cas de cancers de l’utérus qui sont détectés en France. Détectée précocement, la maladie peut cependant être traitée efficacement. En plus de réaliser un frottis gynécologique régulièrement (tous les trois ans chez les femmes de 25 à 65 ans, après deux frottis normaux réalisés à un an d’intervalle), un nouveau test pourrait permettre dépister le cancer.
Le British Medical Journal vient en effet de publier un rapport indiquant qu’un simple test urinaire serait efficace dans le cadre d’un dépistage organisé. Moins contraignant, moins invasif et moins coûteux qu’un frottis, le test urinaire serait tout aussi efficace pour détecter la présence du papillomavirus (HPV) chez les jeunes femmes.

«Notre étude démontre la précision de la détection du HPV dans l'urine et le col utérin précisent les auteurs du rapport. Lorsqu’un test de dépistage de papillomavirus est demandé, le test urinaire devrait être une alternative recommandée, afin d’accroître le taux de dépistage chez les femmes. »
Si les chercheurs précisent que de nouvelles études doivent encore être menées pour confirmer l’efficacité du test urinaire, cette alternative devrait bientôt s’imposer pour améliorer encore la prévention du cancer du col de l’utérus… un grand pas vous ne trouvez pas ??

 

Bon week end à vous qui passez par là bisoux Doubs ...

 


 

 

 

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19 septembre 2014 5 19 /09 /septembre /2014 05:15

 

 

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« Oubliez toutes les raisons pour lesquelles ça ne fonctionnera pas et trouvez la raison pour laquelle ça fonctionnera. » Jack Canfield

 

Je suis sure que vous utilisez du thym pour cuisiner ne serait ce dans votre mélange « Herbes de Provence » Mais le thym a bien d’autres vertus … Il combat la plaque dentaire, il enraye maux de gorge et la toux, mais, l’un des constituants du thym, le carvacrol, pourrait avoir des effets relaxants sur les personnes atteintes d’anxiété. Il serait un peu aphrodisiaque quand on le cuisine...

Et, avoir un rôle dans la lutte contre l’alopécie. Malheureusement, seule la pelade (alopécie areata) serait concernée : l’alopécie androgénétique, typiquement masculine et l’alopécie post-ménopausique, liée à la ménopause, ne dépendent pas des mêmes mécanismes. Même si peu d’études se sont consacrées à ce sujet, certaines ont mis en évidence un effet possible du thym dans la repousse de cheveux. Au cours de l’une d’entre elles, 86 individus atteints d’allopécieareata se sont massées la tête durant 7 mois avec une huile placebo ou une combinaison d’huiles essentielles (thym, lavande, bois de cèdre) sans connaître la nature exacte de leur traitement, et bu un thé au thym ou utiliser du thym dans leur préparation alimentaire chaque jour. A l’issue de l’expérience, 44% du groupe ayant choisi le cocktail aromatique a connu une repousse de cheveux contre seulement 15% de l’autre groupe. Une différence significative qui nécessite cependant des études plus approfondies pour être prise totalement au sérieux.

Comment utiliser le thym pour aider à la repousse des cheveux ?

Dans le shampooing. Mettre 2 gouttes d'huile essentielle de thym à thymol directement dans votre shampooing.

En huile de massage. Dans un flacon vide, mélanger 6 goutes d'huile essentielle de lavande, 6 gouttes d'huile essentielle de thym et 100 ml d'huile végétale d'amande. Appliquer le mélange sur l'ensemble du cuir chevelu. Laisser reposer 20 minutes avant de faire un shampooing.

J'en ai plusieurs sortes sur la terrasse je vais en utiliser encore plus pour une chevelure (comme dans les pubs lol) ...

Belle journée à vous bisoux doubs ...

 


 

 

 

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 05:15

 

 

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« Personne n’est trop vieux pour se fixer un nouvel objectif ou réaliser de nouveaux rêves. » Les Brown

J’ai reçu la visite d’une amie … nous parlions « régime », explications possibles des kilos superflus c’est alors qu’elle m’a parlé de la méthode des « petits bonhommes allumettes » de Jacques Martel… connaissez vous ? Avez-vous testé ??

 

Ce n’est pas compliqué à faire, et peut soulager (ou pas) divers maux…

J’ai donc décidé de dénouer mes nœuds personnels, de me délester du pourquoi de mes kilos…

Il parait que dessiner permet à notre subconscient d’imprimer et d’évacuer des idées négatives ou positives…

On y croit ou pas, cela ne coute rien (des feuilles blanches, un stylo ou/et des feutres de 7 couleurs différentes, une paire de ciseaux)…

Je reste convaincue qu’il faut positiver, croire encore et toujours en son potentiel…

Mettre chaque jour sous le signe du bonheur comme une douce saveur à croquer …

 

Maintenant, je vous explique la méthode :

 

Nous pouvons dessiner des bonhommes allumettes en les, considérant comme des personnes, des situations, ou des difficultés qui résident en nous.

Pour couper tous les liens d'attachement conscients et inconscients envers soi-même, une autre personne ou une situation difficile ou bloquée.

 

Très simple à réaliser il s'agit de dessiner un petit bonhomme vous représentant et représentant l'autre personne ou la situation et ensuite de couper la feuille....

 

Le dessin se fait en 7 étapes :

1) Je me dessine moi même, et je me nomme

2) Je dessine l’autre personne ou la situation et la nomme également

3) Je dessine un cercle de lumière autour de moi

4) je dessine un cercle de lumière autour de l’autre personne ou la situation

5) Je dessine un cercle de lumière englobant les deux personnes.

6) Je trace les lignes d’attachement conscientes ou inconscientes

Ces lignes sont tracées au niveau des 7 centres énergétiques (chakras) Il doit y avoir 7 lignes qui relient les 7 chakras, soit, de bas en haut : chakra racine (sacrum), chakra sacré (nombril), chakra du plexus solaire, chakra cœur, chakra gorge, chakra du 3ème œil (entre les deux yeux) et chakra couronne (sommet du crâne).

Il est possible d’utiliser les couleurs des chakras pour matérialiser les lignes d’attachement : rouge pour le chakra racine (sacrum), orange pour le chakra sacré (nombril), jaune pour le chakra du plexus solaire, vert pour le chakra cœur, bleu pour le chakra gorge, indigo pour le chakra du 3ème œil (entre les deux yeux) et violet pour le chakra couronne (sommet du crâne).

7) A l’aide de ciseaux, je coupe la feuille en deux  afin de rompre ces attachements.

 

On peut ensuite soit bruler les deux bonhommes, soit les jeter … à vous de choisir … moi j’ai brulé on verra bien la suite …

Voilà à vous maintenant… il est possible d’en faire autant que de questions en suspend, autant que de problèmes à solutionner …

 

 

 

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12 septembre 2014 5 12 /09 /septembre /2014 04:54

 

 

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« La patience est une fleur qui ne pousse pas dans tous les jardins… » John Eywood

 

J’ai très souvent eu la chance de travailler avec des plantes proches de mon bureau … et même une petite sur mon bureau … mais je ne savais pas qu’en fait j’augmentais ma productivité …

Des chercheurs ont observé des gains de productivité et un bien-être accru chez les salariés travaillant dans des bureaux agrémentés de végétaux.
Ce sont les conclusions d'une étude publiée dans Journal of Experimental Psychology.

Ses auteurs se sont penchés pendant plusieurs mois sur les effets des plantes au bureau.

Le résultat est éloquent :

"Il suffit d'enrichir un bureau jusque-là spartiate avec des plantes pour accroître la productivité de 15 %", rapporte Marlon Nieuwenhuis, chercheuse en psychologie à l'université de Cardiff et coauteur de l'étude.
C'est la première fois que des données sont récoltées dans des environnements de travail réalistes, avec des plantes comme seul ajout.

Les scientifiques ont observé pendant plusieurs mois les employés de deux cabinets de conseil et ceux d'un centre d'appel d'une mutuelle de santé.

À chaque fois, deux groupes-tests étaient en place : l'un travaillant dans un bureau minimaliste, l'autre dans un espace similaire, mais agrémenté de plusieurs plantes d'environ 90 centimètres de haut.
"Nos conclusions sont en désaccord avec l'air du temps actuel et la philosophie du lean management", professe Marlon Nieuwenhuis. Le lean office est un mode de management en pointe depuis les années 1990, qui suggère que plus dépouillé est le lieu de production, meilleure sera cette dernière. Une philosophie qui a d'autant plus ses adeptes en période de disette, où tous les prétextes sont bons pour couper dans les dépenses jugées superflues.
Les auteurs rappellent trois vertus prêtées aux plantes vertes selon la littérature scientifique actuelle:

D'abord, l'apport de verdure dans un espace aussi artificiel est perçu comme une bouffée d'air frais, au sens propre, certaines plantes étant capables de filtrer l'air, parfois plus pollué dans les espaces confinés que dans la rue.

Les propriétés des plantes apporteraient un supplément de bien-être mais aussi de sécurité aux salariés, rassérénés par l'irruption du "naturel" dans ce qui est, pour beaucoup, leur deuxième lieu de vie.

Enfin, un espace de travail avec des plantes est le signe que le manager se soucie du confort de ses subordonnés.

15% de productivité en plus pour quelques dizaines ou centaines d'euros, il faut peut être y réfléchir ? Qui osera le suggérer à son patron … ??

Une autre étude, pour être encore plus productif et en forme le matin essayer : la plante de Jasmin … Elle a un effet positif sur la qualité du sommeil, elle réduit également l'anxiété et améliore l'attitude qu'on a après le réveil. L'odeur de jasmin ne vous fait pas dormir plus, il rend votre temps de sommeil plus profond, et, de meilleure qualité, avec le gardénia cela fonctionne aussi...

 

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10 septembre 2014 3 10 /09 /septembre /2014 05:00

 

 

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« Quand la boisson dont tu te délectes t’apporte le bonheur alors ne change rien ou alors juste un soupçon ! » Jacques Prévert

 

Vous le savez j’adore le café surtout celui du matin … mais j’aime aussi me délecter d’un bon thé l’après midi … Mais faut il privilégier l’une ou l’autre boisson … En cas d’hypertension il est déconseillé d’abuser de café mais le thé ???

Certes cette étude qui a suivi, durant 4 ans, plus de 130.000 participants a regardé les effets associés à la consommation des 2 boissons sur le risque de décès cardiovasculaire.

Mais, finalement, sur ce point, elle n’aboutit qu’à des différences peu significatives…

Cependant, ses conclusions, présentées au Congrès de la Société européenne de cardiologie (ESC) révèlent des profils de risque inverses pour les buveurs de thé et de café, majoritairement liés à des modes de vie spécifiques.

L’étude a été menée par le Pr Nicolas Danchin (Hôpital européen Georges-Pompidou), auprès de 131.401 personnes âgées de 18 à 95 ans après un bilan de santé, entre janvier 2009 et décembre 2013 puis ont été suivies durant 3,5 ans en moyenne.

Au cours du suivi, 95 décès de cause cardiovasculaire et 632 décès d’autres causes ont été constatés. La consommation (aucune, 1 à 4, ou plus de 4 tasses par jour) de café et/ou de thé des participants a été évaluée par questionnaire auto-administré.

L’analyse constate:

·  Pour le café :

-   les buveurs de café présentent un profil de risque cardiovasculaire plus élevé que les non-buveurs, en particulier pour les fumeurs, le taux de tabagisme augmentant avec la consommation de café (17% des non-buveurs vs 57% chez les consommateurs de plus de 4 tasses par jour).

-   Les non-buveurs de café sont plus actifs physiquement, 45% ont un bon niveau d’activité physique vs 41% chez les consommateurs de café.

-   Les gros buveurs de café sont plus âgés que les non-buveurs, 44 ans vs 40 ans.

-   Entre buveurs et non-buveurs, les différences de pression artérielle restent modestes, les grands consommateurs de café ayant une pression artérielle systolique un peu plus basse et une pression artérielle diastolique un peu plus haute vs non-buveurs, après ajustement pour l’âge.

 

·   Pour le thé :

-   Les consommateurs de thé présentent un meilleur profil de risque cardiovasculaire que les non-consommateurs et le taux de tabagisme diminue avec la consommation de thé (34% des non-buveurs vs 29% des gros consommateurs de thé).

-   L’activité physique augmente avec le nombre de tasses de thé consommées quotidiennement (46% des grands buveurs ont un bon niveau d’activité physique vs 43% pour les buveurs modérés),

-   La consommation de thé entraîne un effet plus prononcé sur la pression artérielle que le café, avec une diminution de 4-5 mm Hg de la pression artérielle systolique et de 3 mmHg de la pression artérielle diastolique chez les grands consommateurs de thé vs non-consommateurs, après ajustement pour l’âge.

Les buveurs de thé ont donc le profil inverse des buveurs de café, et plus la consommation de thé est élevée, moins élevés sont les risques cardiovasculaire, de tabagisme et de sédentarité. Autre conclusion, les hommes ont tendance à boire du café beaucoup plus que les femmes, tandis que les femmes ont tendance à boire plus de thé que les hommes.

Enfin, si le thé réduit considérablement –de 24%- le risque de mortalité non-cardiovasculaire et montre aussi une petite tendance –non significative- à réduire le risque de décès cardiovasculaire, l’augmentation du risque de mortalité hors cardiovasculaire associée à la consommation de café se révèle en fait principalement liée au tabagisme : Cette augmentation disparaît en effet, après ajustement pour le tabagisme. 

En conclusion, ces deux boissons, parmi les plus consommées au monde, apparaissent ici associées à des modes de vie bien spécifiques donc à nous de boire la boisson qui nous convient et surtout que l’on aime …


 

 

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