«Le bonheur n’est pas quelque chose que tu planifies pour le futur, c’est quelque chose que tu conçois pour le présent» - Jim Rohn
Alors que je savoure mon deuxième café je fais le constat que je déteste le changement d’heure car le soir je ne peux m’endormir avant plus de minuit et le matin je suis dans le coltard… je feuillette mon mag de nana et je lis un article sur un problème de femme dont on tait les conséquences surtout…
L’endométriose est une maladie gynécologique qui atteint les femmes de tout âge. Sa complexité découle du fait qu'elle implique tant le système reproducteur, endocrinien qu'immunitaire, et qu'en plus, elle semble exacerbée par diverses composantes alimentaires et environnementales.
L’approche allopathique consiste à traiter l’endométriose par une thérapeutique hormonale visant à diminuer les taux d’œstrogène et par la chirurgie. Pourtant, le corps humain a le pouvoir de se régénérer si on lui fournit les nutriments essentiels dont il a besoin.
L’ennemi numéro un : l’inflammation…
L’inflammation est un facteur aggravant de l’endométriose qui met le système immunitaire à rude épreuve. D’ailleurs, les recherches ont démontré que les femmes atteintes d’endométriose souffrent plus souvent que les autres de différentes maladies auto-immunes, d’allergies et de candidose systémique. Cela dit, l’alimentation moderne, qui encourage la dénutrition et l’inflammation plutôt que la santé, devrait être au centre de nos préoccupations.
Le gluten : Plusieurs aliments sont à proscrire lorsque l’on vise à enrayer le processus inflammatoire. Le gluten est certainement en tête de liste comme aliment à éviter. Il faut savoir que le blé moderne, après avoir subi d’innombrables croisements afin d’en accroître le rendement, n’a plus rien à voir avec le blé ancien. Notre système digestif, qui n’a tout simplement pas évolué au même rythme, ignore comment soutirer les éléments nutritifs essentiels de cette protéine quasi étrangère. Les céréales contenant du gluten – le blé, l’avoine, l’orge, le seigle, le triticale, l’épeautre et le kamut – encouragent l’inflammation et devraient donc être évitées.
Les sucres et les gras saturés…
Le sucre sous toutes ses formes promeut l’acidité systémique, ce qui favorise l’inflammation et la douleur de l’endométriose. Les gras saturés (viande, beurre, margarine, fromage) encouragent la formation des prostaglandines pro-inflammatoires. De plus, la viande rouge contient souvent des hormones de croissance dont l’œstrogène.
Autres aliments à éviter· Les produits laitiers stimulent l'inflammation ; La caféine et l'alcool augmentent les taux d'œstrogène en circulation ; Le soja agit comme un œstrogène dans le corps ; Les fruits citrins et la levure selon la tolérance personnelle…
Voilà un petit tour d’horizon des produits à choisir ou pas quand on souffre d’endométriose je souhaite du courage à toutes les femmes car peu de médecins prennent en considération leurs douleurs, leurs souhaits de traitement …